Quand on lit les premiers lignes de ce roman ainsi que son titre et qu'on connait l'histoire d'Osamu Daizai, on voit très rapidement vers quoi on se dirige.
Cette fausse auto-biographie met bien en avant les pensés de l'auteur. Il ne nous présente pas la vie de façon philosophie à la Gen Urobochi avec son nihilisme, ici on est très clairement dans du "la vie c'est de la merde". C'est tout ce roman, l'histoire d'une personne qui a une vie remplie de galères avec les thèmes classiques de la litèrature japonaise qui est celui des femmes trompeuses (ce n'est pas pour rien que le kandji de la malice ce fait en dessinant trois fois le kandji de la femme). De plus on est dans le contexte du japonais on sa population voulait changé des choses notamment le développement du communisme.
J'ai vraiment aimé ce roman même si je préfére voir des morales que ça soit dans des oeuvres pessimistes ou non. Mais ce récit est intèressant de comprendre comment un homme voit sa vie quand il la maudit (avec comme cadre-spatiotemporelle le japon d'aprés guerre).
Quand on lit les premiers lignes de ce roman ainsi que son titre et qu'on connait l'histoire d'Osamu Daizai, on voit très rapidement vers quoi on se dirige.
Cette fausse auto-biographie met bien en avant les pensés de l'auteur. Il ne nous présente pas la vie de façon philosophie à la Gen Urobochi avec son nihilisme, ici on est très clairement dans du "la vie c'est de la merde". C'est tout ce roman, l'histoire d'une personne qui a une vie remplie de galères avec les thèmes classiques de la litèrature japonaise qui est celui des femmes trompeuses (ce n'est pas pour rien que le kandji de la malice ce fait en dessinant trois fois le kandji de la femme). De plus on est dans le contexte du japonais on sa population voulait changé des choses notamment le développement du communisme.
J'ai vraiment aimé ce roman même si je préfére voir des morales que ça soit dans des oeuvres pessimistes ou non. Mais ce récit est intèressant de comprendre comment un homme voit sa vie quand il la maudit (avec comme cadre-spatiotemporelle le japon d'aprés guerre).